Pénétrer dans l’antre de Patrick Plattier, c’est plonger dans le monde d’un grand enfant, coloré, drôle et fouillis. L’aventure n’est pas donnée à tout le monde, elle nécessite une (très) forte dose de second, voire troisième degré.
Et cela commence par l’homme lui-même, sorti d’un autre temps avec son bob jaune, sa chemise à fleurs fluo et son short militaire. Le préambule est du même acabit : « Moi, c’est simple, je suis dans le déconnage horaire ! »